Trio de défis
Ouattara Ibrahim
Ouattara Ibrahim
| 21-05-2025
Équipe Sportive · Équipe Sportive
Trio de défis
Salut les Lykkers ! Avez-vous jamais pensé à ce qu’il faut pour dominer non pas un sport, mais trois — l’un après l’autre ? Bienvenue dans le monde du triathlon ! C’est là où nous nageons dans l’eau libre, faisons du vélo sur de longues routes, et courons jusqu’à la ligne d’arrivée — tout en une seule course.
Ce n’est pas seulement une question de forme physique ; c’est aussi une histoire de force mentale, de stratégie et d’endurance sérieuse. Explorerons donc ce combat complet du corps et voyons comment nous pouvons nous entraîner ensemble.

Qu’est-ce qu’un triathlon exactement ?

Un triathlon est une course composée de trois parties — natation, vélo et course — effectuées dans cet ordre précis, sans arrêt. Il existe différentes distances, allant des sprints courts aux Ironman complets, qui comprennent une nage de 3,8 km, un vélo de 180 km et une course de 42,2 km. Cela peut sembler extrême, mais avec un entraînement adéquat et une bonne attitude, nous pouvons certainement y arriver étape par étape.

L’entraînement pour les trois sports

Contrairement à l’entraînement pour un seul sport, l’entraînement au triathlon doit couvrir les trois disciplines. Nous n’avons pas besoin d’être champions dans chacun, mais nous devons avoir un équilibre. Un plan hebdomadaire pourrait inclure deux séances de natation, des sorties à vélo de différentes longueurs, et des séances de course axées sur l’endurance et la vitesse. Un conseil clé ? Pratiquer les « brick workouts » — c’est-à-dire faire deux disciplines l’une après l’autre, comme le vélo suivi de la course, pour que notre corps s’habitue aux transitions rapides.

L’art des transitions

Parlons des transitions — ce sont les moments de la course où nous passons d’un événement à l’autre. Elles peuvent durer une minute ou deux, mais elles sont souvent appelées la « quatrième discipline » du triathlon. Nous devons pratiquer le montage de notre matériel, changer rapidement, et passer facilement de la natation au vélo (T1) et du vélo à la course (T2). De petits gains de temps ici peuvent faire une grande différence globalement !

La natation : calme au milieu de l’agitation

La natation en eau libre est très différente des longueurs de piscine. Nous nageons dans des lacs, des rivières ou même des océans — parfois avec des centaines de personnes autour de nous. Il ne s’agit donc pas seulement de vitesse, mais de rester calme, de respirer régulièrement et de repérer (regarder devant) pour rester sur le bon chemin. Porter un bon maillot de bain ou un néoprène et s’entraîner dans des conditions similaires nous aide à être plus confiants le jour de la course.

Le vélo : puissance sur deux roues

La partie vélo prend souvent le plus de temps dans un triathlon, donc il est utile d’être à l’aise sur un vélo de route ou un vélo de triathlon. Nous nous entraînons à la fois pour la vitesse et l’endurance ici — et apprenons à manger et boire en cours de route ! La nutrition est essentielle pendant les longues sorties, tout comme les compétences de gestion, surtout sur les côtes ou les virages. Un casque bien ajusté et une configuration sécurisée du vélo sont impératifs.

La course : finir fort

Après toutes ces nages et ces sorties à vélo, la course est là où nos jambes ressentent vraiment le brûlage. C’est pourquoi il est crucial d’entraîner notre corps à s’adapter rapidement. Des courses courtes et rapides après les séances de vélo aident à construire la mémoire musculaire. Et ne vous inquiétez pas — il est tout à fait normal que vos jambes soient un peu instables au début. Avec assez d’entraînement, la transition devient plus fluide et la ligne d’arrivée se rapproche !

Materiellez-vous pour réussir

Nous n’avons pas besoin des équipements les plus chers pour commencer, mais quelques éléments clés facilitent l’entraînement : un maillot confortable ou un néoprène, un vélo fiable, un casque adapté et de bons chaussures de course. Les vêtements spécifiques au triathlon, comme un maillot une pièce, peuvent nous aider à avancer plus vite lors des transitions sans changer de tenue.
Trio de défis

La force mentale est la moitié du combat

Tout comme pour les marathons, les triathlons mettent à l’épreuve notre jeu mental. Nous avons tous eu cette voix dans notre tête qui dit « je ne peux pas continuer ». Mais l’entraînement n’est pas seulement physique — c’est aussi une question de construire cette voix intérieure qui dit « oui, je peux ». Diviser chaque partie en objectifs plus petits, utiliser un discours positif envers soi-même et se souvenir de pourquoi on a commencé peuvent nous pousser à aller plus loin.

Alors Lykkers, prêts à rejoindre le club ?

Le triathlon peut sembler intense, mais c’est l’une des courses les plus récompensantes. Que nous visions notre premier sprint ou que nous rêvions d’un Ironman, le voyage est inoubliable. Si vous avez jamais pensé à tenter quelque chose de courageux et excitant, c’est peut-être votre signe. Avez-vous déjà fait un triathlon, ou aimeriez-vous en essayer un ? Partageons, soutenons-nous et peut-être même courons-nous ensemble un jour !